Châssis AM101/10*015*
La seule Sebring livrée neuve en couleur Giallo
Restauration complète de la carrosserie par un expert de la marque
L’une des 247 Série II produites
Immatriculation européenne
La stratégie de survie de Maserati dans les années 1960 reposa sur le renforcement de sa position de constructeur de types routiers. La nouvelle vie de la marque de Modène commença en 1957 avec le lancement de la 3500 GT carrossée par Touring. Luxueuse « 2+2 », la 3500 GT bénéficiait de l’expérience acquise en compétition par Maserati par le choix d’un châssis tubulaire et d’un moteur dérivé de celui du type sport-compétition 350 S de 1956 conçu par Alfieri. Les suspensions avant indépendantes faisaient appel à des triangles superposés et à des ressorts hélicoïdaux, tandis que l’arrière comportait un système traditionnel à pont rigide oscillant sur ressorts à lames semi elliptiques. La puissance du « six » à 2 ACT était d’environ 220 ch initialement, portée par la suite à 235 ch grâce à l’injection. Construite sur le châssis à empattement court, mais par ailleurs semblable à celui du spyder 3500 GT carrossé par Vignale, le coupé Sebring 2+2 apparut en 1962. À cette date, la boîte à cinq rapports, les quatre freins à disque et l’injection étaient standard, tandis que la boîte automatique, l’air conditionné et le différentiel à glissement limité étaient en option. Introduite en 1965, la Sebring Série II offrit un moteur de 3,7 litres et 245 ch, certaines voitures étant livrées avec un moteur de 4 litres vers la fin de la production en 1966.
La Sebring que nous proposons à la vente est le châssis AM101/10*015*. C’est la seule de toutes les Sebring produite en couleur jaune d’origine. Elle fut livrée neuve à Turin, et a été par la suite la propriété d’un collectionneur norvégien. Son propriétaire actuel en a fait l’acquisition en 2011 et décida par la suite de lui faire une restauration complète de la carrosserie. On sait que le moteur de l’auto a été à un moment remplacé par un autre moteur du même type. Cette Sebring est vendue avec la copie de sa fiche de livraison usine de l’époque.
Immatriculation européenne.